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- MULTILATION DU BÉTAIL -

Un mystérieux fléau toujours inexplicable


 

Il est hors de tout doute que nombre de bestiaux domestiques et animaux sauvages furent victime de mutilation. Ces événements ont été rapportés un peu partout de par le monde, mais principalement au Mexique et aux États-Unis. Seulement aux USA, environ 2000 cas de mutilation sont rapportés chaque année. Prédateurs naturels, rituels satanistes ou forces inconnues… le mystère reste entier.

Ces évènements troublants ont généralement été associés aux ovnis, à des expérimentations gouvernementales étranges ou encore à des mouvements religieux très motivés. Il est important de noter que ces mutilations ne se limiteraient pas qu'au bétail, mais aussi à des animaux sauvages. Les mutilations donc il est question ici sont le sectionnement de parties du corps, généralement les pis, la langue, le cœur ou les muqueuses des animaux avec une précision intelligente, généralement entourée de circonstances déconcertantes.

Les articles se retrouvant sur cette page décrivent les événements étonnants survenus un peu partout dans le monde. Les textes sont classés par ordre chronologique:


1967 - Snippy, le prélude d'une longue série de massacres (USA)
1974 - Une chirurgie géométrique (USA)
1975 - Animaux morts, végétation détruite et radioactivité (USA)
1975 - Une lumière bleue dans le ciel (USA)
1975 - La valise bleue: un indice valable ? (USA)
1975 - Des attaques venues du ciel ? (USA)
1975 - Les cagoules noires (USA)
1975 - Du travail étrangement bien fait (USA)
1976 - Des traces mystérieuses (USA)
1976 - Un extra-terrestre méthodique? (USA)
1976 - Une préférence pour les oreilles (USA)
1980 - La loi canadienne du silence (Canada)
2005 - Une vague de mutilation d'animaux domestiques (Suisse)
2005 - Des vaches portantes retrouvées mortes et mutilées (Argentine)
2005 - Mutilation en série de cerfs communs (Uruguay)

Snippy, le prélude d'une longue série de massacres

Un effroyable série de mutilation de bétail fut la mort mystérieuse, en 1967, d'un cheval nommé Snippy. Ce hongre de trois ans était la monture préférée de Mr. Et Mrs. Berle Lewis, d'Alamosa (Colorado, USA); il pâturait dans le ranch du frère de Mrs. Lewis à quelques kilomètres de là.

C'est le soir du 7 septembre qu'on vit Snippy pour la dernière fois. Quand, le lendemain matin, in ne vint pas au ranch chercher sa ration de grain et d'eau, on eu quelques inquiétudes. Le surlendemain, on entreprit des recherches. On le trouva mort dans un pré, à environ 400 mètres de la maison. Snippy gisait sur le flanc gauche, dans un état effroyable. Il semblait que son cou avait été coupé tout autour jusqu'à l'os. Au-dessus des épaules ne restait aucune trace de chair. De la tête ne subsistait que le crâne décharné.

Sur le sol, au sud-est et au nord-ouest du cadavre, on remarqua plusieurs taches sombres. Près du cheval, deux buissons avaient été écrasés, et, à coté de l'un d'eux, de petits trous semblaient avoir été perforés dans le sol. Sur l'un des buissons, Mrs. Lewis retrouva une partie de la crinière de Snippy.

Ce qui fut le plus inexplicable, c'était l'absence totale de trace, même de celle de Snippy, dans un rayon d'environ 30 mètres autour du corps. Des empreintes sur le sol semblaient indiquer que deux cheveux avaient dû courir avec lui jusqu'à un point, puis avaient fait demi-tour simultanément vers le ranch. Au-delà, les traces de Snippy continuaient sur une courte distance, puis s'arrêtaient à une trentaine de mètres de l'endroit où sa carcasse avait été retrouvée.

Selon les descriptions données par ceux qui ont examinés la dépouille du cheval, le cadavre aurait été vidé de son sang et de son liquide céphalorachidien, les tissus cérébraux et les organes internes avaient disparu. Il est normale que le liquide céphalorachidien se liquéfient rapidement par temps chaud, mais en septembre, dans cette vallée, la température était plutôt froide. Et, à part deux coyotes venus rôdés autour du cadavre huit jours après sa découverte, il n'y avait pas de trace d'animaux charognards. De plus, il semblait absurde que des oiseaux, fourmis ou d'autres prédateurs se nourrissent uniquement de la tête au cou.

L'autopsie fut pratiquée par le Dr Robert O. Adams, de l'Institut de médecine vétérinaire et de science biomédicale de l'université du Colorado. Il déclara premièrement qu'il ne trouvait rien d'anormal à la disparition des organes internes du cheval. Les petits animaux charognards s'introduisent souvent par les orifices naturels des animaux pour aller dévorés ces parties du corps. Le sang avait simplement coagulé et les tissus cérébraux avaient subit la liquéfaction et l'évaporation naturelle du processus de décomposition.

Mais le Dr Adams découvrit des traces d'une grave infection dans le flanc droit du cheval et constata que la peau, près de l'épaule, « avait été incisée ». Il supposa qu'une personne avait dû trouver l'animal en proie à d'atroces souffrances et lui avait tranché la gorge pour mettre fin à son agonie. Les prédateurs naturels auraient fait le reste.

Peu après, les restes furent remis au Dr Wallace Leary, vétérinaire privé à Alamosa. Celui-ci, examinant le squelette, eut la surprise de découvrir dans l'os pelvin, des lésions causées indubitablement par des balles. Convaincu qu'on avait tiré sur Snippy, il supposa que l'animal avait dû galoper jusqu'à épuisement et se jeter dans une clôture de fils barbelés, qui lui avait infligé ses blessures. Cependant, la véritable cause de la mort de Snippy reste un mystère.

 

Chirurgie géométrique

Durant l'automne 1974, un fermier du Minnesota (USA), trouva une de ses vaches morte dans son pré : il lui manquait le pis, les organes sexuels et les oreilles. Pour prélevé le pis, on avait pratiqué une incision en forme de losange.

 

 

Animaux morts, végétation détruite et radioactivité

A Whiteface, Texas (USA), dans une région où, au début de 1975, on signalait des ovnis depuis des semaines, la police vint examiner une génisse retrouvée morte, le 10 mars, par l'éleveur Darwood Marshall, sur une aire de végétation écrasée. L'animal avait le cou tordu et la tête pointait vers le ciel ; on avait prélevé sa langue, ses organes internes et, semble t'il, découpé son nombril. Sur le sol, autour du corps de l'animal, il n'y avait aucun sang.

Quelques jours plus tôt, Marshall avait découvert un bouvillon mutilé gisant dans un cercle de blé roussi. L'équipe du Shérif ayant découvert une radioactivité anormale sur le site, demanda le concours à des experts de la base aérienne de Reese. Leurs analyses révélèrent une radioactivité de 0,5 pour 100 plus élevée que la normale, différence faible et nullement alarmante. Cependant, pourquoi cette différence et ce cercle de blé brûlé ?

 

Des lumières bleues dans le ciel

De nombreux paysans de l'Ouest américain attribuèrent à des extra-terrestres les cas de mutilation de bétail, et le fait qu'on signala à maintes reprises la présence d'ovni dans la même région paraissait confirmer leurs suspicions. Ainsi, au début de 1975, près de Copperas Cove, Texas (USA), on vit planer dans la campagne une lumière orange, la nuit où un veau fut mutilé.

Certains observèrent des rayons de lumière bleuâtres qui semblaient projeté de l'ovni vers le sol. Des fonctionnaires du service public de sécurité du Texas vinrent inspecter les lieux. Ils constatèrent qu'autour du veau mort, la végétation était bizarrement aplatie, comme écrasée par un souffle puissant, dessinant des cercles concentriques. A moins de 40 mètres du veau mort, des motifs identiques apparaissant sur un espace d'un diamètre de 9 mètres environ.

 

La valise bleue: un indice valable ?

Un jour, en traversant sa propriété, vers la fin de l'été 1975, un éleveur du Colorado (USA) aperçut par terre une valise bleue. Elle renfermait une oreille, une langue de vache, et un scalpel. Ce fut le premier indice corroborant ce que soupçonnait de nombreux éleveurs : des adeptes d'un culte satanique étaient les auteurs des mutilations de bétail.

D'après Carl Whiteside, du service des enquêtes du Colorado, de nombreux cadavres de bêtes mutilées furent envoyés à l'école vétérinaire, mais six seulement étaient en état d'être autopsiées. Ces six sujets étaient morts de cause naturelles, et cinq d'entre eux semblaient avoir été, ensuite, mutilés par des mains humaines. Whiteside, au retour d'un meeting réunissant trois cents éleveurs, rapporta que ceux-ci étaient littéralement révoltés. Ce qui les effrayait et les alarmait, c'était qu'on put pénétrer dans leurs ranches et pratiquement disséquer des animaux sans laisser de traces. Tous ont peur de commettre un homicide involontaire : qu'une personne en panne d'essence s'aventure dans un ranch et, avant de savoir comment, quelqu'un aura le meurtre sur les bras.

 

Des attaques venues du ciel ?

Rien ne permettait d'établir un rapport entre le passage d'hélicoptères et des mutilations de bétail, mais beaucoup d'éleveurs croyaient à l'intervention d'un engin aérien quelconque, car nombre d'animaux morts semblaient s'être écrasés au sol.

En août 1975, le shérif W.I. McDonald déclara avoir examiné une génisse mutilée, apparemment tombée d'une hauteur de quelques mètres dans une mare. Dans le comté de Park (Colorado, USA), on trouve deux vaches mutilés dans un pré donc la barrière était cadenassée. Elles n'auraient pas pu s'y trouver, dit le shérif Norman Howey, « à moins d'avoir été larguées d'un engin volant ». On ne releva aucune trace près des cadavres.

 

Les « cagoules noires »

Un employé du service des forêts déclara avoir vu, en septembre 1975, plusieurs individus en cagoules et robes noires près de Cove Creek (Idaho, USA). A la suite de quoi on trouva plusieurs bêtes mortes et mutilés dans la région, et la police lança contre les adeptes supposés d'un secte de vaines recherches.

Le 9 octobres 1975, un automobiliste déclara à la police qu'en circulant à 3h30 du matin sur la nationale 95, dans l'Idaho, il s'était vu barrer la route par une quinzaine d'homme masqués, formant un bloc, les bras unis ; mais il était parvenu à les contourner et à leur échapper.

 

Du travail étrangement bien fait

Le 21 octobre 1975, on trouva une bison femelle de 750 kilos mort dans un enclos du zoo du mont Cheyenne, Colorado (USA). Les organes génitaux étaient mutilés ; on avait prélevé une oreille, le pis et une plaque de peau de 155 centimètres carrés. Près d'elle, nulle autre trace que celles des animaux de l'enclos, qui renfermait une cinquantaine de bisons et dix élans. « Sans aucun doute, dit Dan Davis, directeur du zoo, l'animal a été mutilé par quelque instrument tranchant, manié par un être humain. »

L'autopsie du bison, pratiquée par Rodney Walker, vétérinaire du zoo, exclus une attaque par des prédateurs et ne décela nul indice de maladie mortelle. Mais elle révéla un fait bizarre : le sang du cadavre était anormalement fluide, comme sous l'effet d'un anticoagulant.

« C'était extrêmement curieux, dit le Dr Walker, il y avait, dans les cavités abdonimale et thoracique, une quantité excessive de liquide sérosanguin, lequel s'était infiltré dans tous les tissus et jusque dans les globes oculaires. »

Le cadavre fut également examiné par Raoul W. Urich, médecin légiste du comté d'El Paso. Il nota que le lambeau de peau avait été prélevé sans entamer les tissus sous-jacents : « La coupure, nette et impeccable, était due manifestement à une lame très tranchante et éliminait l'intervention de tous prédateurs… Même en m'appliquant je n'aurais pas pu mieux faire. Un vrai travail d'expert! » Le Docteur nota également que l'autopsie s'était pratiquée dans d'excellentes conditions dues aux fait que le cadavre était âgé de moins de 24 heures et que le froid avait retardé la décomposition.

 

Des traces mystérieuses

Des « traces mystérieuses qu'on eût dit laissées par des ventouses » attirèrent l'attention d'un inspecteur de service sanitaire du bétail, alors qu'il enquêtait sur un cas typique de mutilation, signalé le 13 juin 1976, dans le comté de Rio Arriba, au Nouveau-Mexique (USA). Une vache de trois ans avait été amputée des organes sexuels, de la langue et d'une oreille.

Dans son numéro du 15 juin, l'Albuquerque Tribune décrivit ces marques comme celles d'un trépied ayant 20 centimètres de diamètre, avec un écart entre elles de 70 centimètres ; elles s'arrêtaient à 150 mètres de l'animal mort, « comme si, dit un policier, on avait atterri là, marché jusqu'à la vache et regagné le point de départ ». Le lendemain de l'enquête, poursuivait l'article, l'éleveur, revenu sur le site, avait trouvé d'autres marques sur les empreintes de pneus laissées par son véhicule.

 

Un extra-terrestre méthodique?

Un matin de 1976, Manuel Gomez, traversant son ranch en voiture, près de Dulce, Nouveau-Mexique (USA), trouva dans son champ un taureau mort « avec des parties de sont corps soigneusement découpées auprès de lui ».

Gomez se rendit en ville pour chercher l'officier de police Gabe Valdez. De retour près du taureau, les deux hommes constatèrent que les parties découpées avaient disparues et que d'autre manquaient maintenant sur le cadavre. Gomez observa aussi « des marques en forme cosse sur ses propres traces de pneus ».

Arrivé sur les lieux quarante-huit heures plus tard, un photographe et journaliste Howard Burgess, prit un rouleau de 20 photos en noir et blanc. A son étonnement, deux d'entre elles, prise à neuf poses d'intervalle, « montrait deux petites taches rondes dans le ciel. Leur écartement variait d'une photo à l'autre ». Sur les autres photos, le ciel était vide en haut des champs. « Il se peut que ce soit un défaut de la pellicule, mais ça serait la première fois ».

 

Une préférence pour les oreilles

C'est en janvier 1977 que le Jasper County News, du Mississippi (USA) annonça que quelque chose dévorait les oreilles des porcs vivants. L'une des victimes, appartenant à Joseph Dickson, membre d'une communauté de nazaréens, avait eu les oreilles proprement coupées, comme avec des ciseaux. La nuit suivante, dans la porcherie, un autre porc fut attaqué, et un autre encore le surlendemain. La troisième nuit, Dickson vit un animal dans la porcherie : il était plus grand qu'un berger allemand et bondissait comme nul chien au monde.

 

La loi canadienne du silence

Les agents de la police montée canadienne de Calgary (Canada) acquirent la quasi-certitude qu'une secte mutilait le bétail dans leur secteur. A l'issue de leurs enquêtes sur trois cas, en juin 1980, ils révélèrent que deux des cadavres montraient « les mêmes caractéristiques que ceux de l'automne dernier » (privés de leurs organes externes). Mais ils n'en dirent pas davantage sur les circonstances de ces trois cas.

 

Vague de mutilation d'animaux domestiques en Suisse


Après trois semaines d'interruption, un nouvel acte de barbarie a été commis contre un animal domestique en Suisse. Une vache portante a été retrouvée morte dimanche par un promeneur à Lostorf (canton de Soleure, nord), avec les tétines gauches du pis coupées et de nombreuses entailles sur la panse...

Les mutilations ont été vraisemblablement commises dans la nuit ou dimanche dans la matinée, a précisé la police cantonale. Les recherches lancées immédiatement après la découverte du cadavre de la vache sont restées vaines, les chiens policiers n'ayant flairé aucune piste. Une autopsie sera pratiquée sur l'animal. Depuis la fin mai, 47 vaches, juments, moutons, chats et lapins ont été mutilés dans les cantons d'Argovie, Bâle-Campagne et Soleure. Plus aucun cas n'avait été signalé ces trois dernières semaines dans ces cantons du nord-ouest du pays. En revanche, plusieurs actes de barbarie ont été commis depuis la fin août dans l'Arc Jurassien (ouest). Un âne et une génisse portante ont été mutilés à mort à Couvet et à Boudevilliers (canton de Neuchâtel), ainsi qu'une chèvre à Movelier (Jura). Trois vaches et un cheval ont été blessés à Seehof et à Bellelay (canton de Berne).

 

Des vaches portantes retrouvées mortes et mutilées


Quatre vaches ont été retrouvées mortes et mutilées il y a quelques jours au ranch "Los Hermanos" à proximité de Vertiz (La pampa, Argentine). L'éleveur Gustavo Steib a déclaré que ses vaches qui étaient sur le point de donner naissance à des veaux ont été retrouvées mortes le matin du 16 décembre 2005. Les organes génitaux, des morceaux de peau, les mamelons de leurs mamelles ont été prélevés avec une découpe circulaire parfaite. Les vaches ont eu des incisions profondes dans le cou et d’autres plus petites sur la carotide. Gustavo Steib a été impressionné par la précision des incisions, qui sont parfaitements propres et cautérisées, comme pour éviter les hémorragies...

Il a ajouté que d'ordinaire les chairs se décomposent après deux ou trois jours, mais elles se sont décomposées ici en à peine 12 heures, et la couleur de la chair a pris une teinte grisâtre foncée, presque de plomb autour des incisions. Il est également remarquable que le reste des carcasses n'a reçu aucune visite de charognards.

 

Mutilations en séries de cerfs communs

Quatre vaches ont été retrouvées mortes et mutilées il y a quelques jours au ranch "Los Hermanos" à proximité de Vertiz (La pampa, Argentine). L'éleveur Gustavo Steib a déclaré que ses vaches qui étaient sur le point de donner naissance à des veaux ont été retrouvées mortes le matin du 16 décembre 2005. Les organes génitaux, des morceaux de peau, les mamelons de leurs mamelles ont été prélevés avec une découpe circulaire parfaite. Les vaches ont eu des incisions profondes dans le cou et d’autres plus petites sur la carotide. Gustavo Steib a été impressionné par la précision des incisions, qui sont parfaitements propres et cautérisées, comme pour éviter les hémorragies...

Il a ajouté que d'ordinaire les chairs se décomposent après deux ou trois jours, mais elles se sont décomposées ici en à peine 12 heures, et la couleur de la chair a pris une teinte grisâtre foncée, presque de plomb autour des incisions. Il est également remarquable que le reste des carcasses n'a reçu aucune visite de charognards.

 

The Reader's Digest, Mysteries of the unexplained , p. 97-101
Esquire, décembre 1975
Penthouse, septembre 1980
Kenneth M. Rommel, Operation animal mutilation
Ronald D. Story, éd., Encyclopedia of UFO's
Michael D. Albers, The terror
Onet, E. George, D.V.M., Ph. D.,  Animal Mutilations : What we know
Frederick W. Smith, Cattle mutilation : The unthinkable truth
The Albuquerque News, 21 février 1979
The Jasper County News, janvier 1977
The New York Times, 5 juin 1980
le-matinet.com, 21 septembre 2005
hbc-ufo.com, 9 septembre 2006




Textes ajoutés par Sehrus
Dernière modification: Vendredi 15 Septembre 2006

 


 



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